mardi 16 mars 2021





15.- STOP COMIQUES - Cela fait donc des semaines, que dis-je, des mois que l'on emmerde les gens avec des couvre-feux, des distanciations, des stop-Covid et tout un tas de gadgets, de mesurettes et de déclarations pontifiantes dont l'estampille macronienne est terrifiante. Où l'on s'aperçoit ainsi que le nouveau monde vendu par le petit marquis de l’Élysée est celui de la langue de bois, de l'usurpation et de la contrainte. Tout ce qu'on aime ici, n'est-ce-pas !
Et alors ce qui me choque peut-être plus que tout, c'est que cette morgue, cette arrogance est totalement contraire à l'idée que l'on devrait se faire d'un état Républicain où la bienséance de ses serviteurs, le disputerait à sa bienveillance et l'altérité. Bref on est chez les incompétents évidemment, mais chez les incompétents sauvages. Jeunes certes, mais néanmoins sauvages…
Il parait que M. Macron veut donner plus de lisibilité à sa politique sanitaire. Cette fameuse "guerre" qu'il mène depuis un an en état d'urgence et une redoutable constance dans les revers de tous ordres. En sorte que s'il voulait rendre les choses réellement lisible, il concéderait son inaptitude. Totale.
Prenons le fil des infos qui se déroule si vite. Après avoir exclu il y a deux mois un troisième confinement, voilà qu'il s'apprête - si l'on en croit l'interprétation de sa lisibilité - à renfermer les parisiens. Si bien que ceux-là et notamment la nouvelle génération auront été contraints aux sacrifices, le renoncement à tous les cocktails (pourtant le cocktail COVID - grenadine, vodka, clou de girofle faisait un malheur -), aux concerts, aux soirées flirts et mieux si affinités... pour se retrouver sous surveillance permanente, contraints de jouer avec les attestations comme s'il n'y avait rien de mieux à faire à cet âge. Ils ont mis la culture sous cloche, la clé sous la porte des cinoches, pour finalement décréter que ce n'était pas assez de contraintes et d'asservissement.
Et vous me connaissez, prévoyant, économe, scénaristes aussi quelque part, je vous ai gardé la petite cerise sur les derniers mots. Hier - vous étiez-là au moins hier ? - je racontais que le conseiller général du canton de Prades qui nous sert de premier ministre, avait avec cette improbable  posture néanmoins pontifiante, asséné qu'à ce stade, le vaccin était extra (zeneka). Formidable même ! Pas question de remettre en cause son admission. A ce stade, c'était donc pour la journée du 14, parce que le 15 le banquier intrigant qui nous sert de Président décida de suspendre la vaccination britannique. Et pas sûr que ce ne soit que pour enquiquiner son copain Jonhson.
Enfin bon, pendant ce temps les médias nous serine qu'il faut se faire vacciner. Demain lorsque les doses nécessaires seront enfin arrivées, on nous expliquera que c'est obligatoire - comme les masques - si l'on veut rester un bon citoyen.…
Mais enfin, en attendant au moins, qu'est-ce qu'on se marre !



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