Jaco...brac - Macronique

 

Mauricette, l'héroïne du grand récit national de la vaccination. Cette fois ce sont les 
soignants qui applaudissent la pionnière. Sans doute des partisans de big pharma...

14.- LA PEUR JUSTIFIE LES MOYENS - Je n'ai, je le répète, rien contre le vaccin. Bien au contraire sitôt que personne ne m'oblige à le subir. En principe les big pharma n'ont rien à faire d'un small sexa, tant ils sont des millions à se jeter à leurs pieds, à les supplier. Ce que l'on peut toutefois admettre, c'est que se sont des génies de la communication organisationnelle ou de l'organisation communicationnelle. En résumé du business de la santé, avec tout de même un sacré coup de pouce du destin viral. Mais on ne donne qu'aux riches, pas besoin d'espérer refaire le monde. De ce côté là, l'horizon est bouché.

Nous sommes évidemment comme au spectacle et le coup qui est en train de se produire mérite une ola géante. Si vous n'avez jamais entendu parler de la ola, demandez à votre cousin Georges fan de sport, il l'a pratique tous les dimanches ! C'est la première fois que les fabricants de cachetons disposent de plusieurs millions de cobayes, certes conditionnés, mais néanmoins parfaitement volontaires. Un tour de force colossal, qui aboutira dans deux ans - la période habituelle de tests sur des souris ou des cochons et de recul pour la certification d'un médicament - à un bilan détaillé mais surtout beaucoup plus fiable des effets secondaires plus ou moins létaux, violents, ennuyeux ou bénins.

Prenez note et rendez-vous, je pense quand même qu'on va bien se marrer ! Mais si l'on est pas trop exigeant; il est déjà possible de se fendre gentiment la poire. Avec AstraZeneka. Ouais, je suis désolé j'aurais préféré qu'il s'agisse de Pfizer. Mais, pas d'angoisse, il est aussi porteurs d’espoir, il a du potentiel. Des spécialistes en parle comme d'une bombe à retardement. Mais enfin Astra à pris de l'avance, qu'on le veuille ou non -.  Des gens sont tellement malades après s'être faits vacciner contre la COVID qu'ils sont obligés de prendre des arrêts maladie. En Lorraine, où le virus fait la course en tête, il y a tellement de membres du personnel hospitalier, préventivement piqués, qui sont tombés malades que les autorités habilités, ont demandé aux soignants de ne plus toucher à ces saloperies... oh pardon ! de ne plus contracter la forme bénigne de coronavirus.

Nous sommes dans l'éternel loufoque, depuis cet état d'urgence, ce couvre-feu, ces confinements, ces tests et ces masques à ne surtout pas mettre avant de devenir obligatoires et c'est à se demander si la COVID ne nous a pas été livrée directement par le Saint-Esprit uber, pour révéler l'incurie et l'absurdité, de ceux qui décident et/ou nous gouvernent.

En outre - et croyez-le, je le suis, outré - ce que j'aurais plutôt souhaité, c'est qu'un labo, même indépendant, voire une start up, mette au point un efficace vaccin contre la peur. Celle qui évidemment n'exclut pas le danger, mais révèle - rarement à leur avantage - les veules, les pleutres et les sots. Vous savez comment on se sentirait mieux si ces millions de malheureux étaient guéris de leurs phobies diverses mais singulièrement recentrées sur la maladie étalon de cette troisième décennie du XXIe siècle ! On me rapportait encore ce matin, l'histoire de deux personnes - des jeunes gens au vrai - qui ont rompu tout lien social, renonçant à toute sortie, repas collectif, visite aux amis, à la famille, par peur panique de la pandémie.

Parmi eux, beaucoup sont non seulement coupés du monde, mais aigris, capables y compris de dénoncer leur voisin. Ce virus n'est pas tant une grippe qu'une peste qui attaque les esprits les plus fragiles. Et cela en fait un bon petit nombre ! Nous sommes - et j'ai conscience de me répéter - dans le meilleur cas de figure pour les gouvernants de la World compagny de la soumission absolue des populations cloîtrées et abruties devant leur télévision, tremblant comme des petits oiseaux sur leur branche hivernale que le renard ou la belette guette.

Un peuple qui a peur ne se révolte jamais. Il ne réfléchit pas davantage. Il obéit.... et ça fait peur !