lundi 21 septembre 2020

 


20.- LES FOLLES DE DIEU ET DU CROP TOP - Je ne comprends pas grand-chose aux femmes et ceux qui prétendent en savoir plus long sur elles, sont des mages ou des prétentieux. J’avais une mère, j’ai encore une femme et le souvenir de collègues de travail, je garde un certain nombre d’amies et toutes me semblaient refléter une image linéaire, épanouie si ce n’est parfaitement heureuse. J’en ai fréquenté, hélas, des charretières, des consœurs avides de pouvoir et manipulatrices, de vilaines mégères qui traitaient leurs « hommes » comme du bétail, non … comme une merde. Si, si, cherchez bien, vous en connaissez aussi… Et ce qui se décline fort bien au féminin, fonctionne impeccablement au masculin. Cela me semblait inévitable et dans l’ordre des genres. Le couple parfait de la connasse et du connard. Et ça fait nombre !
Du coup, je ne comprends rien au féminisme. Mitou, balance-ton-porc et leur cortège de hashtags, cela me semble une vaste blague ou pire que ça, un produit marketing agité par quelques aigries, frustrées du cul et de la vie. Focalisant sur un ignoble salopard producteur de cinéma qui profita lamentablement de l’avidité de quelques starlettes et autres carriéristes en jupon, qui une fois le rôle décroché, fortune et notoriété faites, se sont érigées en vertueuses, forcées jadis par un cochon auquel elles auraient tant - et toutes sans exception - voulu résister. Je sais pas vous, mais je me demande quand même si elles ne nous prennent pas, de près ou de loin, pour des citrons ?
Je ne comprends rien non plus aux magazines féminins. Ceux-là, je les redoutais depuis toujours avec leurs enquêtes à la noix, leurs tests psychologiques, leurs conseils beauté, leurs recettes bio, hypocaloriques et bidons, idées déco, leurs horoscopes et leurs mots croisés niveau cours préparatoire. Parce qu’ils voudraient tirer la femme vers le bas qu’ils ne s’y prendraient pas autrement. Peut-être pour en faire l’égale de leur mec, lecteur assidu de l’Equipe, Auto Plus, France Football, enfin... à condition qu’ils sache lire ! 
Et je n’ai pas attendu la 5G, moi l’amish avec ma lampe à huile, pour recevoir de Femme Actuelle, Closer et toute une ribambelle de sites magazines, des photos hallucinantes de filles, souvent très jeunes, de stars parfois décaties et pour moi de parfaites inconnues, dont les histoires sont mises à nu - ce qui ne m’intéresse guère - et de corps dans le même appareil, ce qui attire forcément davantage l’attention du pêcheur. Mais enfin, si ce n’est pas dégrader la femme que de l’exposer sous toutes ses coutures et ses positions à longueur de milliers de page, alors c’est que pour de bon je n’ai rien compris. Et sans plus jamais la regarder, je suppose que la télé - et ses émissions peoples - ne fait pas mieux ! 
Toutefois, depuis que j’entends parler des problèmes vestimentaires à l’école, j’en connais un peu plus sur la culture de nos jeunes filles du XXIe siècle et peut-être plus encore de leur parent. Si vous n’en savez rien prenez des notes. Elles vont au collèges - je ne veux même pas parler du lycée et de la fac – avec des jupes courtes, des shorts en jeans taillés au plus juste que supporte l’entendement, en pantalons lacérés et leurs fameux « crop top ». Ce mot barbare désigne en fait des tee-shirts, des chemises, enfin des « hauts » comme elles disent, qui couvrent le minimum tout en s’ouvrant au maximum… Quel est le but ? Démontrer qu’elles sont libres et que ceux qui pensent le contraire sont des porcs ou des pédophiles, des réactionnaires ! Et que font les parents censés les protéger ? Ils approuvent sans doute et financent même ces tenues à destination hautement scolaire... 
Simultanément, il s’est pointé à l’Assemblée nationale, une illuminée qui à vu le prophète et se pointe dans une salle voisine de l’hémicycle, symbole de la démocratie républicaine et donc laïque, couverte de la tête au pied en « intégral » puisque le masque venait fort à propos compléter l’attirail. Aurait-on l’idée d’aller débattre d’un fait de société civile, d’enseignement public et de COVID,  vêtu d’une robe de bure, tonsure et croix de bois de trente centimètres, ou alors en kippa et serpentins sur les oreilles ? Que n’en dirait-on pas partout ailleurs que dans les chapelles de fous de Dieu (x) ? Non mais là Maryam, arrête ta charia ! Et vous l’UNEF, la frange d'Insoumis et les Islamo-gauchistes, stop au carnage ? Vous allez où comme ça ? Votre prochain défi c’est quoi ? Un attentat suicide ?
Oui je sais, j’exagère, oui je suis en colère ! Parce que vous salissez la gauche de Marx, Proudhon et Jaurès et j’espère que la gauche vous juge...
Voilà, vous saisissez mieux maintenant mon désespoir de ne rien comprendre aux femmes ? Au féminisme ? J’attends que les nouvelles enragées (car il faut les distinguer de Simone Veil, Françoise Giroud, Gisèle Halimi, ou Simone de Beauvoir qui sublimèrent la cause) fassent le siège des journaux qui instrumentalisent le corps et la naïveté des femmes et qu’elles s’engagent d’urgence dans toutes les régions du monde, des pays de l’Est au Nigeria, en passant par les barbares du Golfe et la Chine pour défendre la cause, là où elle s’impose urgemment. Et qu’elles rappellent aux militantes de l’islam, comme aux gamines en tenues légères, que pour être respectées, il convient qu’elle se respectent elles-mêmes. Enfin, ce que j’en dit...




Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire