Alors lui, déjà, c’est un tel phénomène que l’on se demande vraiment s’il relève du réel ou s’il s’agit déjà de l’un des personnages fictifs et néanmoins hallucinants qu’il nous suggère. Avec des électrodes, foultitude de nano-technologies dans le cerveau et une batterie à la place du cœur. Pour cette dernière, cela semble totalement crédible au regard de ce qui va suivre. N’étant ni adepte des romans d’anticipation, ni moins encore des films de science-fiction, il m’est difficile d’établir si l’un des auteurs ou réalisateurs du genre a déjà pu imaginer et mettre en scène un individu aussi détestable, perfide et vénéneux que cet Elon Musk en question. Certes, il m’arrive de me laisser aller à quelque jugement morphopsychologique, - plus par faiblesse que par goût - et j’admets que cette trombine ne m’aide déjà pas à trouver la moindre circonstance atténuante à ce répugnant personnage. Vous savez que je n’ai rien contre les Chinois, mais alors celui-ci m’indispose au plus haut point. Remarquez, il n’est pas Chinois, mais natif d’Afrique du Sud, en 1971 à l’époque du total apartheid que pratiquaient sûrement allègrement ses parents. Je n’en sais strictement rien, mais ça me soulage de le penser. A la base, c’est un petit startuper de merde comme ils s’en incruste un peu partout à la croûte de la planète (et après vous vous étonnerez qu’elle dépérisse !). Un seul objectif dans la vie : gagner un max de pognon, écraser les autres. Pour cela il crée toutes les conneries possibles et imaginables : logiciels, banques en ligne, moyens de paiement (paypal), réseaux sociaux (Twitter). Et dès que ça marche, il revend. Jusqu’au point de devenir énorme. Démesuré. Monstrueux. Outre son caca social rebaptisé X, il accouche de la Tesla, cette fameuse bagnole qui fait la fierté de tous les matuvus de la planète, des branchés qui roulent à l’électrique hors de prix et puis aussi de SpaceX, ces fusées avec lesquelles les plus fortunés qui emmerdent la terre entière, passent leur week-end sur orbite… Pour faire court, car je ne vais tout de même pas pousser les murs de cette chronique pour un tel dégénéré de l’humanité, voilà que ce Musk plus ultra vient d’annoncer le licenciement de 10 % des salariés de ses usines automobiles dans le monde. Si vous voulez mon avis, ce n’est pas aux cadres de la Silicon Valley qu’il va directement s’attaquer. Et dix pour cent, si je ne me trompe pas, ce sont quatorze mille personnes qui n’auront plus qu’à traverser la rue demain, pour trouver un nouveau boulot ! Pour se justifier – comme si d’ailleurs il avait à se justifier ! - il argue d’économies de coûts, de suppression de doublons et de gains de productivité. Un dialecte auquel je ne pige que dalle et dont je ne veux d’ailleurs rien savoir. Mais lorsque j’évoque la présence d’une batterie électrique à la place du coeur, je me trompe peut-être car Elon le généreux ajoute en conclusion : « Il n’y a rien que je déteste davantage » que de procéder à des licenciements, « mais il faut en passer par là », et de diagnostiquer : « Cela va nous amincir, nous rendre plus innovants et mobilisés pour notre prochain cycle de croissance. » Alors, si c’est pour la croissance… La croissance et sa petite rémunération, car il faut bien parfois penser un peu à soi. Cinquante-six milliards (56 000 000 000) de salaire pour son seul poste de PDG de la marque automobile. Ne me demandez pas si c'est annuel, mensuel, quotidien, ou pour toute une vie et ne me demandez pas non plus de trouver les mots qui qualifieraient de telles sommes : ils n’existent pas. Mais ce que je sais c’est qu’il y a des gens – et pas qu’un peu, nom de Dieu ! – capables de vous opposer froidement des raisonnements tels que : « Oui, mais il a le génie », « Oui, mais il crée de l’emploi »… Et j’en connais même qui roulent en Tesla ! Pour en revenir à mes recherches inaugurales, il est un fait que j’ai trouvé à partir du roman d’Asimov, un film d’Alex Proyas - réalisateur bien connu des amateurs du genre - « I, Robot ». Dans lequel un luciférien de la même engeance que le nôtre, un certain Dr Lanning également féru d’intelligence artificielle, se met en tête de placer un robot dans chaque foyer, non seulement pour ramer, mais éventuellement aussi, pour mener la barque. Mais un jour, patatras, tout s’arrête. Le pauvre docteur passe à travers une verrière et se vide de son sang. Est-ce un accident, un suicide ou bien l’a t’on un peu aidé ? Du coup, j’aimerai bien aussi entrer en contact avec le scénariste démoniaque qui a conçu cet horrible EM, pour lui suggérer toute affaire cessante d’envisager la fin de l’épisode. De nous le foutre d’office et si possible attaché, dans l’une de ses fusées et que l’on programme son lancement à destination de très loin et si possible… sans retour !
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