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MACRON - BIDEN : C'EST DANS LES VIEUX POTES... - J'ai
lu ce titre dans la presse de propagande : "Macron et Biden s'affichent ensemble et promettent d'accomplir de grandes choses ! "
Ça vous étonne ? Moi non plus !
Toutefois
si j'avais été titreur dans ces journaux de Pinault, Lagardère ou
Niel, j'aurais plutôt choisi : "Macron s'affiche avec Biden..."
Parce que comme dragueur celui-ci ! Ça ne m'étonne pas qu'outre les
riches et les
jeunes
loups
persuadés
que la jeunesse est un atout pour diriger un pays, ce soient les
femmes sans réelle consistance
et conscience
politique qui l'aient élu de leur cœur. D'autant que croyant qu'il
vivait encore chez sa mère, elles l'imaginaient disponible et plein de
vigueur.
Un
véritable jeune chien fou ! Et que je me frotte à la jambe de Joe
et que je lui caresse le dos et que je fasse plein de risette à
madame... Vous pouvez le croire ces
deux là ils s'aiment. Enfin surtout lui. Parce que se produire aux
côtés du winner des States ça fait tout de
suite de
l'effet, même si en réalité le vieux Ricain, il en a rien à taper
du petit ambitieux qui voudrait conquérir le leadership comme il dit
avec tant d'élégance en paluchant tout ce qui passe. Car peut-être
vous
l'ai-je déjà dit, il semble bien
que
ce type possède
une douzaine de mains... à chaque bras. Et que je t'en passe une
dans le dos et qu'en même temps, je t'en joigne deux pour
circonvenir les mormons... le nœud !
En
France
on n'a pas vu les autres, ceux du G7 se mettre à genoux devant le
Yankee. Bon d'accord nos caméras s'en foutent des autres, mais si ça
se trouve ils en ont pas fait
tant,
des courbettes, au
général de la world company ! La vieille peau de Merkel par
exemple, elle s'en fout, elle ne se représentera pas à la
Chancellerie. Et l'Italien, le Japonais, le Canadien, si ça se
trouve ils jugent indécent un tel abaissement.
Quant à Johnson lui, c'est mieux, il n'a qu'à attendre que le
petit français ait terminé son numéro de séduction et de
représentation, vu que depuis le Brexit, le seul vrai partenaire des
États-Unis en Europe, c'est justement
le Royaume-Unis.
Gardons-nous
toutefois de tout excès de dénigrement. Car il est un fait que les
USA, Macron, il les bade
et que ce n'est pas nouveau.
C'est son modèle, son Amérique à lui. Même que peut-être dans
six ans, après l’Élysée il est foutu de partir à la conquête
de la Maison Blanche, comme l'a fait si bien Manuel Valls au
parlement Catalan. Parce qu'en vérité lorsqu'on est à ce point
ultra-libéral on est forcément Américain.
D'ailleurs
n'a t-il pas lancé sa campagne présidentielle 2017 à grands frais
et à la Silicone Valley ? Autre
preuve : vous vous souvenez lorsqu'il a rendu visite à Trump à
Washington ? Et "mon cher Donald" et l'amitié
Franco-Américaine... et que je te
repasse
la main dans le dos,
une
fois même sur le genou
-
là ça devenait chaud !- et que je te parle à l'oreille et que je
rigole des
super-bonnes blagues et que je te tweete, te retweete et dix de der !
En
retour l'ami Trump
fut même l'invité d'honneur d'un 14 juillet (2018 peut-être ?) un
peu comme le chef de nos armées. Non les États-Unis, y a pas,
c'est
son dada
!
Entre
Biden et Macron, outre la vaste
fumisterie d'une amitié improbable, il existe une vraie trajectoire
commune. Ce sont des gens qui sont passés par une pseudo gauche,
pour mieux se faire aimer de la droite.
Et là, réellement, ça créait des liens !
Et là, réellement, ça créait des liens !
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De la relativité de l'immédiat
" Oui, Einstein avait raison : même l'immédiat est relatif, restreint ou général... Le "giffleur" du petit employé de banque a été jugé "en comparution immédiate" deux ou trois jours après les faits. C'est déjà un immédiat relatif... Mais quand on pense au cas de Benalla, Alexandre de son prénom, la relativité temporelle s'aggrave. Cet individu a été pris sur le fait de brutalité avec usurpation de qualité officielle, voici plusieurs années : photos et film passés en boucle sur nos écrans TV. Comme on dit, paraît-il, dans la police, un "flag", flagrant délit. Et il n'est toujours pas jugé "en comparution immédiate".
De mauvais esprits pourraient suggérer qu'il y a deux poids et deux mesures, que des influences (au culte ?) ont joué en faveur du copain de qui tu sais. Voyez comme les gens sont méchants..! Gardons pour plus tard les turpitudes de Darmanin, dont les textes lumineux - et répressifs - ont des problèmes avec le Conseil d'Etat. Tout va bien, entre justice et police. Sans compter que les grands de ce monde se réunissent chez les anglo-saxons, hors Europe, malgré les souvenirs du descendant d'Irlandais qui dirige cette partie de l'Univers. Mais soyons heureux, nous avons vu, en boucle, le petit banquier passer affectueusement la main dans le dos de Biden. Pour faire oublier son amitié de 2017 avec Trump et madame ? A l'époque où il virait, en bon chef des armées, un général qui avait des vues prémonitoires sur l'intervention au Sahel... Comme c'est compliqué, tout ça ! "
De mauvais esprits pourraient suggérer qu'il y a deux poids et deux mesures, que des influences (au culte ?) ont joué en faveur du copain de qui tu sais. Voyez comme les gens sont méchants..! Gardons pour plus tard les turpitudes de Darmanin, dont les textes lumineux - et répressifs - ont des problèmes avec le Conseil d'Etat. Tout va bien, entre justice et police. Sans compter que les grands de ce monde se réunissent chez les anglo-saxons, hors Europe, malgré les souvenirs du descendant d'Irlandais qui dirige cette partie de l'Univers. Mais soyons heureux, nous avons vu, en boucle, le petit banquier passer affectueusement la main dans le dos de Biden. Pour faire oublier son amitié de 2017 avec Trump et madame ? A l'époque où il virait, en bon chef des armées, un général qui avait des vues prémonitoires sur l'intervention au Sahel... Comme c'est compliqué, tout ça ! "
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